9 juin 2008

Sacrément tracé, en tout cas.

L'exposition "Traces du sacré", ouverte au Centre Pompidou jusqu'au 11 août est supposée poser plus de questions qu'amener des réponses autour d'un sujet des plus impalpables : le sacré dans l'art. Pourtant, des "messages" y sont clairement revendiqués et dans le patchwork des oeuvres proposées, quelques "messages" sont plus ou moins clairement revendiqués. Aude de Kerros, dans Liberté politique.com, nous propose son décryptage, sous le titre : " Tous les sacrés, sauf un."
« Pour réaliser une exposition "blockbuster", c'est-à-dire un événement controversé propre à attirer la curiosité, la polémique dans les médias et la foule au musée, il faut un préjugé à détruire. Le “concept” de l'exposition au Centre Pompidou "Traces du sacré" (7 mai -11 août) est que l'art “moderne” et “contemporain” n'est pas, comme on le croit communément, athée, matérialiste, révolutionnaire et rationnel mais spirituel, métaphysique et sacré...»
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