20 déc. 2009

Violence du dispositif et dérive néo-libérale.

par François Derivery, Claude Rédélé et Martine Salzmann.
Extrait de la revue Ecritique n°9.
Retour sur La force de l’art n°2 : violence du dispositif et dérive néolibérale.
Constat et décryptage.
" Depuis 1972, en France, l'institution s'est donnée pour mission d'orienter la création artistique vers les attentes du marché. Les expositions officielles d'art contemporain ont depuis moins servi l'art, comme elles le prétendent, que précipité sa perte d'indépendance et le renoncement des artistes face aux décideurs..."
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1 commentaire:

Anonyme a dit…

Texte très interressant qui souligne très justement le glissement de l'oeuvre vers l'évènement.
Cependant, je ne suis plus d'accord avec vous lorsque vous dénoncez une main mise néolibérale : il me semble que ce qui caractérise ce glissement c'est plus la présence d'une nouvelle oligarchie fonctionnarisée qui a confisqué le pouvoir aux artistes qu'une prédominance d'un marché qui de toute époque à toujours existé. Pour moi, la prédominance de cette oligarchie est plus le signe du néocommunisme que du néolibéralisme.