14 sept. 2008

L’art contemporain et ses institutions – le paradoxe -

par Marc Verat.
« L'Art, de tout temps, a principalement été le fait du "Prince" et dans les années 80 l’Etat français a décidé de renouer avec une tradition, chère à l'Ancien Régime mais aussi à la Troisième République, celle de l’achat et la commande publics. L’Art académique ou "Pompier" d’alors se devait de respecter les critères dictés par l’Académie des Beaux-Arts. Aujourd’hui, la Délégation aux Arts Plastiques, nouvelle instance de tutelle du goût, adopte des règles plus internationales mais dans le genre toutes aussi strictes et, généralement, elle ne considère comme vraiment contemporaines et digne d’attention que les œuvres à caractère conceptuel, cela, au détriment de la peinture au sens propre du terme… »
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