13 déc. 2008

Un bouquet final.

« Oui, André Rouillé, puisque vous revenez sur Koons à Versailles, j’en profite pour reconnaître une extrême habileté à Koons et son équipe. Devant tant de stratagème et d’art consommé, l’événement Koons à Versailles avait déjà le goût sucré de l’artifice salé. Avec les prétentions métaphysiques et les angoisses existentielles gentiment exhibées par Koons dans son interview du 29 novembre à Libération, l’artifice salé vire au feu d’artifice. Un bouquet final en somme, la fin d’une époque… »
Entre humour et expectative, bref commentaire de Michel De Caso à l’éditorial d’André Rouillé "L'art politique de Jeff Koons" paru dans Paris Art n° 259 (11 déc.08).
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