« L’exposition "Traces du Sacré", qui vient d’avoir lieu à Paris (Beaubourg) fut un événement peu, mal ou pas compris qu’il convient d’analyser dans la mesure où il crée de la "réalité" et de l’ "Histoire" au sens médiatique et conceptuel du terme. Mais on ne peut laisser cette "réalité" s’installer sans en faire la critique cultivée et approfondie. Cette exposition marque en France un tournant historique dans la compréhension de la modernité et de la postmodernité. Elle souligne pour la première fois, de façon officielle, les profonds rapports entre la modernité en art et les courants para gnostiques et ésotériques très divers qui ont sous-tendu les utopies politiques, artistiques et scientifiques du XIXe et XXe siècle… »
Cliquez ici pour lire la suite
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire