7 févr. 2019
Exigeons le respect de la diversité artistique !
25 juin 2018
« Les mirages de l’art contemporain » : nouvelle édition augmentée.
4 mars 2016
De George Orwel "1984", du "4 août 1789" et du "Titanic".
2 févr. 2016
Entre iconoclasme et idolâtrie
1 janv. 2016
Sur le retrait du monde
(Apophtegme d'Abba Antoine, cité par Jean Biès "Art, Gnose et Alchimie, trois sources de régénérescence.")
8 déc. 2013
Comment comprendre la formule de « l’art est mort » ?
6 nov. 2013
L’art est mort, et les artistes, aussi.
18 févr. 2013
«Je leur ai jeté le porte-bouteilles et l'urinoir à la tête comme une provocation et voilà qu'ils en admirent la beauté»*
Extraits :
* Marcel Duchamp
14 févr. 2013
Bibliographie chronologique de Laurent Danchin, MAJ 2013.
la bibliographie chronologique établie par Laurent Danchin, mise à jour 2013.
Pour mieux comprendre le débat français sur l'art contemporain.
Cliquez ici pour accéder au fichier PDF.
13 sept. 2012
Un signe des temps : le chaos symbolique.
(2) Rien de nouveau sous le soleil.
(3) "Sacré art contemporain", page 115.
25 janv. 2012
« Coup de torchon à la Tate Britain »*
* Extrait du "Grain de sel" du 24-1-12 de Christine Sourgins
12 janv. 2012
« Style de vie »*
25 nov. 2011
Le marché financier de l’art est à la FIAC – Et les autres marchés ?
17 mai 2011
Le choc des bureaux *
On savait depuis quelques décennies que les artistes n’étaient plus les acteurs de l’histoire de l’art. Avec la fin de la transmission de la main qui pense, un manteau mental s’était en effet progressivement déposé sur les ateliers et les outils avaient cessé d’être écoutés. Les mots s’étaient substitués au langage des formes et la transmission des maîtres étaient devenue inutile. Les critiques se mirent alors à parler, à beaucoup parler. Au début, habilement soutenus, certains discours eurent même quelques portées mais à force de démontrer tout et son contraire, leurs démonstrations s’asséchèrent.
C’est alors que les fonctionnaires de l’art commencèrent à exiger de goûter à la source créative, fut-elle tarie. Déjà, ils ne réclamaient plus d’artistes et l’art lui-même se mesurait selon le « ça c’est cher ». L’art était mort et l’époque leur appartenait. Après le choc des mots, le choc des bureaux fit entendre son tumulte et nul ne sait encore aujourd’hui combien de levées de lunes cela durera. Pour l’heure, des outils continuent d’émettre dans d’obscurs ateliers, et une douce chaleur y entretient le feu, le temps d’une couvaison. Longue vie aux oiseaux…
* A propos du débat autour de la présidence de Chaillot II. Plus d'infos
31 mars 2011
L’Art est mort, vive l’AC !
« Les gesticulations convenues des gens d’Eglise et des fonctionnaires d’Etat admirant "l’art contemporain", si contraires à leurs fonctions et à leur mission, évoquent les pantomimes burlesques des Fêtes des Fous lorsque le Moyen-Âge touchait à sa fin. Cela aurait peu d’importance. Combien d’artistes, dans le siècle qui s’est achevé et dans celui qui commence, incomparablement plus maltraités que leurs compagnons de la fin de l’autre siècle qu’on avait appelés des artistes "maudits", ont-ils disparus, en effet sacrifiés, dans l’indifférence des pouvoirs supposés les aider, morts sans avoir été reconnus désespérés trop souvent de cette ignorance ? C’est pour eux que ce petit livre aura été écrit. »
20 févr. 2011
Chronique d’une dissidence en démocratie.
Chronique d'une dissidence en démocratie :
- Le « plastiquement correct »
- Dissidence et orthodoxie
- Sur quelques ostracismes notoires
- Multiplicité et unité républicaine
Cliquez ici
10 janv. 2011
« Note de vocabulaire à propos de la notion d’"art" »
Article paru dans Liberté Politique.com
En quoi « les mots "Art", "Art contemporain" et "Financial Art" sont trois notions différentes »?
Cliquez ici
23 sept. 2010
« La légende d’un art séditieux »
Il aurait été dommage de supprimer des passages du texte de Sébastien Lapaque. Le voici donc dans son intégralité sous forme pdf : cliquez ici .
16 sept. 2010
Morale ou politique ?
La « morale » ne peut-elle se vivre qu’en dehors du champ politique ? De même, la « politique » est-elle inévitablement amorale ? Finalement, doit-on choisir entre « morale » ou « politique »? Dans une récente chronique, le philosophe André Comte-Sponville nous invite à une fine réflexion à ce propos. Nous avons pensé utile de reprendre ici quelques extraits de sa chronique :
« … Nous avons besoin de morale, pour nous gouverner nous-mêmes, et de politique, pour gouverner ensemble le peuple que nous formons…/… Aussi faut-il les prendre ensemble (elles sont toutes deux nécessaires), mais sans les confondre. Donner le pouvoir à un escroc ? Ce ne serait pas raisonnable. À un raciste ? Ce ne serait pas acceptable. Ce n’est pas une raison pour confondre une élection, par exemple présidentielle, avec un prix de vertu. Méfions-nous des bons sentiments, de la bonne conscience, et même de nos colères, qui voudraient nous faire croire que morale et politique sont du même côté - le nôtre !-, ce qui laisse entendre que nos adversaires, en politique, sont forcément du côté du mal ou de l’erreur…/…
La gauche n’a pas le monopole du cœur, ni la droite le monopole de la compétence. La politique n’oppose pas les bons aux méchants (contrairement à ce qu’on croit souvent à gauche), ni les intelligents aux imbéciles (contrairement à ce qu’on croit parfois à droite)…/...
La morale n’est pas politique : elle n’est ni de droite ni de gauche. La politique n’est pas morale : ce ne sont pas les plus vertueux qui gouvernent, mais ceux qui ont gagné les élections… » (1)
(1) Extraits de la chronique de André Comte-Sponville, « Morale et politique », in « Le Monde des Religions », sept-oct 2010, n°43, p.82.
9 févr. 2010
Recherche démocratie, désespérément !
Acte 1
20 déc. 2009
Violence du dispositif et dérive néo-libérale.
Extrait de la revue Ecritique n°9.
Retour sur La force de l’art n°2 : violence du dispositif et dérive néolibérale.
Constat et décryptage.
" Depuis 1972, en France, l'institution s'est donnée pour mission d'orienter la création artistique vers les attentes du marché. Les expositions officielles d'art contemporain ont depuis moins servi l'art, comme elles le prétendent, que précipité sa perte d'indépendance et le renoncement des artistes face aux décideurs..."
Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf).
8 oct. 2009
Blabla, Bling-bling & Bobo.
Les arts plastiques, c'est plastiquement vivant, et puis, tellement festif que c'est vraiment sympa. L'art enfin à la portée de tous. La révolution dans les têtes des citoyens et une nouvelle conscience planétaire à l'horizon pour nos enfants. Tous des artistes, vous dis-je ! Que ce symbolisme de bazar est plaisant. Le sacré enfin désacralisé. La révolution au pouvoir. Ce qu'il est touchant de toucher la vérité par ces mots tronqués. Combien il est grisant d'être amené sur les bords de l'abîme. La confrérie des trois B (Blabla, Bling-bling et Bobo) est vraiment le nec plus ultra en matière de contemporanéité. Des néons, des boulevards et des nuits blanches. Blanc est le Noir. Merci pour eux…
11 juin 2009
À propos de «Art et Voyeurisme, des Pompiers aux Postmodernes», de F. Derivery
Extrait :
6 mai 2009
La question des "vraies valeurs".
« Avec la crise financière ce n’est pas seulement la valeur marchande et l’intérêt spéculatif de l’Art Contemporain qui sont en chute libre. Sa qualité même d’art, qui faisait hier l’unanimité, fait aujourd’hui question. L’Art Contemporain ne se vend plus ou moins bien : du coup est-ce qu’il s’agit bien d’art ? La confiance s’effiloche et, pour la relancer, pour rassurer les acheteurs, le marché, par la voix de ses représentants, proclame la fin des valeurs surfaites … »
Cliquez ici pour lire la suite
30 avr. 2009
"La Force de l'art 02" au Grand Palais : un spectaculaire contre-sens.
L'exposition du Grand Palais "La Force de l'art" est définie par le directeur de la revue Artension comme un spectaculaire contre-sens économique, sociologique, artistique et historique.
Cliquez ici pour lire son analyse